[+18 - SCENE HOT] WITH YOU IM A BEAUTIFUL MESS Ψ ARES

With you I'm a beautiful mess ► Earwen Arès

Arès venait de raccrocher avec Earwen, il se faisait du soucis avec cette prophétie de merde, si Zeus tombait la dessus c’était sur il allait passer a l’offensive. Et merde ! Le dieu envoya tout son bureau voler d’une seule main, l’ordinateur s’explosa contre le mur et les papiers étaient décimé dans toute la pièce. Il se leva et passa la porte dans la quelle il y avait encore des stylos et coupe papiers planté profondément. Quelle poisse ! En plus sa colocataire, il ne pouvait même pas la mettre a l’écart, il savait très bien que la jeune femme ferait tout pour aider son amie et cela le rendait fou, petit a petit il redevenait le Arès de l’ancien temps, ses muscles prenaient du volume, son aura commençait a se dégager de ses pores, son regard devenait reptilien et ses gestes étaient brusques.
Heureusement elle allait arriver et mettre fin a l’éveil de ce monstre qui avait causé tant de catastrophes au travers des âges.
Son téléphone sonna « Monsieur Arès c’est l’agent McKlaner, j’ai ici une femme qui dit avoir rendez-vous avec vous mais comme vous ne nous avez pas dit de laisser entrer du monde nous l’avons arrêté » Arès pouvait entendre Earwen se débattre « Si c’est une simple catin on la jette dehors... » Il n’avait même pas eu le temps de finir sa phrase que Arès arriva en se téléportant a un mettre du sol et tomba de tout son poids avec un glaive a la main, coupant l’avant bras de ce pauvre mercenaire qui tenait la demi-déesse. Dans un réflexe primaire il se tourna vers sa compagne pour voir si tout allait bien et aussitôt il prit l’homme qui hurlait de douleur par le col et frappa plusieurs fois le sol avec, Son aura était complète, l’aura du dieu de la guerre, le fléau divin, comme des flammes rouges et noires surgissant de toutes part, seul ses yeux étaient encore humain. Il le lança en l’air et donna un grand coup de pied en plein ventre pour l’envoyer dans un mur d’enceinte, puis comme si cela ne suffisait pas il alla le sortir de ce mur pour le mettre au sol et le frapper encore et encore, le parvis était rouge, le liquide poisseux qui avait giclé sur tout son corps avait fait des projections jusqu’au chaussures d’Earwen qui était portant a quelques mètres du massacre, oui a un certain moment on appelle ça un massacre. Arès ne s’arrêtait pas de frapper ce sac de viande difforme qui ne respirait même plus. Ce n’est que lorsqu’une dent de l’homme toucha un nerfs dans sa main a force de le marteler qu’il repris ses esprit. Le dieu se leva et arracha les dents qu’il avait d’incrusté dans les phalanges, il traîna l’homme jusqu’au poste de garde ou il le déposa a coté d’un autre mercenaire qui s’était fait dessus « Ramasse son bras et envoie-le a Thanatos , il saura quoi faire, au pire débarrasse toi de lui et je triple ton salaire annuel ».
Arès s’était laissé emporté sans penser aux répercutions que cela pouvait engendrer, si de son coté, ni du coté de celle qu’il aimait, il n’osait même pas la regarder, il lui fit juste un signe de main, signe de le suivre, sa gorge était noué, un mélange de plaisir refoulé et d’angoisse, c’était tellement bon de laisser s’exprimer sa nature primaire, de se laisser guider pas son corps tout simplement, mais elle avait vu ça, elle avait vu la partie sombre de son appartenance divine.
Arrivé devant la porte il lui fit signe de l’attendre dans le salon et parti directement a la douche pour se laver et revenir quelques minutes plus tard, il s’était écoulé seulement cinq ou six minutes mais il s’était posé des milliers de questions, il était épuisé mentalement.
« Bon, on va parler de ce qu’il vient de se passer ou pas ? »

With you I'm a beautiful mess ► Earwen Arès

Alors elle aime les armes anciennes, elle accepte d’y passer alors qu’a la base on devait juste manger un bout et maintenant j’explose un mec a coté d’elle et elle me dit qu’elle se sent en sécurité… Arès en était sûr et certains cette fois, c’était la bonne.
Le dieu éclata de rire, soit elle était folle soit elle avait le syndrome de Stockholm le plus rapide du monde. Quoi qu’il en soit il avait réellement eu peur de ce qu’il pouvait arriver a Earwen, avec cette histoire de prophétie et de Zeus en plus, il savait très bien que son père ne respectait pas les humains, encore moins les femmes. Arès lui partait du principe que les humains étaient imparfaits, pleins de vices et pour la plus part qu’ils fonctionnaient a la force de l’innée, mais il les respectait en tant qu’être imparfait, ils avaient crée des civilisations et les avaient fait prospérer pendant des générations pur en arriver la, c’était quand même admiratif venant de personnes a peine plus forte qu’un anchois sur l’échelle trophique. Zeus par contre s’en foutait, les humains pour lui n’étaient que des bourses a offrandes et des sac a foutre.
Depuis qu’il était descendu sur terre Arès avait pris conscience d’une chose : au 21ème siècle c’était lui le vrai roi des dieux, dans le ciel des avions, sur la mer des bateaux et sous terre des complexes, le tout appartenant a l’armée, plusieurs dizaines de millions de militaires plus les chefs d’états, les chefs d’entreprises, les groupuscules qui veulent faire la révolution, plus tout les membres de la famille de ces humains la, ça doit bien mener a plusieurs centaines de millions d’offrandes. Sans compter la logistique humaine et matériel don disposait le dieu avec sa simple entreprise, plus d’homme et d’argent que le PIB de la Roumanie, si Zeus avant ses aigles en vie c’est que Arès avait ordonné de les laisser tranquille, le roi des dieu n’en avait que le titre actuellement, mais le dieu de la guerre ne voulait pas de ce poste. Si il était obligé il le prendrait mais il préférait passer du temps avec la belle.
Sa belle a qui il devait apprendre a se défendre IMMÉDIATEMENT, mais avant ça il fallait qu’il l’imprègne de son aura… Non pas ça espèces de gros dégelasses ! Une vraie aura, une partie de lui aller être transmit a Earwen, non sans risque mais les avantages étaient grands.
« Earwen il faut qu’on parle d’un truc avant de faire nôtre soirée, déjà je vais t’entraîner a te défendre et c’est pas négociable, ensuite je pense a te transmettre une partie de mon aura, ça m’indiquera si tu es en danger et ta localisation si c’est le cas, ensuite il t’indiquera comme marqué, si je te le demande c’est que ce n’est pas rien, je vais placer une partie de ma divinité en toi et ça va te marquer pour toujours, tu seras réellement a moi, comme un objet, alors on sait tout les deux que tu n’es pas un simple objet a mes yeux mais dans les faits ce sera le cas, en plus l’aura a sa propre conscience en quelques sortes, plus tu seras en danger et plus elle réagira de façon violente donc c’est pas a prendre a la légère, je répondrait a toutes tes questions si tu en as »
Arès fit apparaître deux bâtons cours et commença a les polir en attendant une réponse, comprendre le système d’aura était plutôt compliqué alors une aura qui est dissidente en fonction du danger et qui vient d’un dieu pour qui le passe temps favori était de raser des cités c’était pas forcément facile a digérer, mais il fallait bien lui en parler a un moment ou a un autre.

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Arès venait de bloquer, il n’y connaissait vraiment rien en informatique mais il avait souvent vu les ordinateurs s’éteindre d’un coup avec pour seul bruit un petit PAC ! C’est exactement le son qu’a fait son cerveau quand Earwen lui a dit qu’elle l’aimait, il a déconnecté une ou deux secondes avant de revenir a lui-même en rigolant :
« Alors non tu ne vas pas jeter des laser de tes yeux ou même voler, tu ne vas pas devenir superman mais tu vas avoir en permanence une partie de moi a tes cotés, si tu es en danger ça va agir comme une alarme pour moi et en plus il y a un truc comme ça qui va apparaître »
Arès fit quelques pas en arrière et déclencha son aura, un mélange de rouge, noir et de orange, comme si il était en feu. D’un geste il écarta les bras pour faire apparaître sa lance, son casque et son bouclier, la scène était surréaliste, Arès en pagne de cuir avec ses armes et son casque le tout dans un tourbillon de flammes tantôt oranges tantôt rouge sang, seul ses yeux d’un rouge écarlate transperçaient ce brouillard sans nom. D’une voix anormalement roque et grave le dieu continua : « C’est cette chose qui va intervenir, a savoir qu’une aura c’est la version primaire du dieu, donc si elle apparaît fait attention a ce que cette chose peut faire »
Puis en baissant les bras il coupa toute la scène pour revenir au Arès du début de conversation.
« Pour faire simple tu ne vas rien subir physiquement, je me pardonnerais jamais si c’était le cas, et pour ce qui est de comment on va faire…. Je pense que je vais tout simplement l’extirper de moi et ce sera a toi de l’assimiler »
Ce qu’il ne disait pas c’est que c’était un peut être car elle allait être la première a qui il confiait son aura et ne connaissait que la théorie.

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Il fut surpris par le baiser de sa belle, un baiser tellement fort, tellement intense, il y répondit avec la même fougue qu’il venait de recevoir. Puis il poussa doucement Earwen avant de déclencher toute son aura, on pouvait la voir passer par les fenêtres de l’extérieur de la maison, il était comme il y a quelques instants avec sa jupe de cuir et toutes ses armes, envoyant valser son bouclier et sa lance il prit son épée. La c’est le moment ou ça va faire mal avec pas mal de sangs, il y avait bien sur d’autres techniques plus simple mais bon… On parle de Arès la, tout ce qui est dentelle et soie c’est pas pour lui, lui c’est un bonhomme avec sa bite et son couteau ! Et bien justement parlons en du couteau. Le dieu de la guerre retourna sa lame contre lui et frappa son torse frénétiquement, il avait une peau presque impénétrable, plus il frappait sans succès et plus il s’énervait, au point ou il déchaîna toute sa rage en hurlant a la mort en un ultime coup qui planta la lame dans son thorax, il tomba deux genoux a terre et retira d’un coup sec la lame et la jeta a l’autre bout de la pièce, l’épée se planta dans un mur jusqu’a la garde.
Une gerbe de sang transparente aux reflets dorés éclata en éclaboussant Earwen, le sol et les canapés. Arès planta deux doigts dans sa chair et écarta la plaie en hurlant de douleur, il se retrouvait bientôt avec une plaie allant du haut du thorax jusqu’au plexus solaire. Il fit rentrer son aura en lui et extirpa de son torse comme une petite boule de brume pour la tendre vers sa belle. « Tiens, respire ça, ça va entrer dans ton organisme et on sera lié pour toujours »
Le dieu se leva et avança jusqu’à son bureau, a chaque pas une gerbe de sang giclait en arrosant la pièce, puis d’un coup SHLACK SHLACK SHLACK ! Arès venait de refermer sa plaie avec une agrafeuse. Il retourna au près d’Earwen et tomba au sol avec autant de sang a l’extérieur de lui qu’a l’intérieur, si il avait été humain il en serait déjà mort.
« Le sol est frais, j’ai tellement chaud »
Cela faisait des centaines d’années qu’il n’avais pas été blessé comme ça, Il transpirait a grosses goutes, a perdre tout son liquide divin, il se rappelait ce que c’était que d’être un combattant, une bête sauvage, d’être Arès simplement.
Il se tourna sur le dos, regardant le plafond, léchant ses doigts pleins de sang. « Earwen… Moi aussi »
Arès était doué dans pleins de domaines mais pour ce qui est de l’émotionnel on était pas trop au point, il aurait pu dire Earwen moi aussi je t’aime, mais non cette grande saucisse se contenta de laisser une phrase en suspend comme ça

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Une trousse de secours… Sérieusement ? Arès se mit a rire en toussant du sang et se releva en se tenant le torse :  « La trousse de secours ne sert a rien, je suis un putain de dieu alors il va m’en falloir plus pour le tuer » Puis d’une main il leva Earwen et la posa sur son épaule comme un sac a patate, chaque pas était accompagné d’un nouveau filet de sang qui sortait de sa bouche et coulait le long de sa gorge pour se frayer un chemin sur ton torse. Arrivé devant son Jacuzzi il lâcha sa belle dedans pour entendre un gros PLOUF ! Puis retira son pagne de cuir, oui le cuir mouillé c’est pas ouf, en plus si il est pas traité il peut vous foutre un ensemble en l’air ! Arès ne le savait que trop bien. Il le jeta au sol en se retrouvant entièrement nu, couvert de son propre sang, il versa des huiles essentiels a la lavande et entra dans le jacuzzi « La lavande accélère la régénération, d’ici 15min tout ira pour le mieux alors détend toi » Il prit une télécommande et remonta le rideau métallique qui cachait le ciel, pour le coup rien de plus simple le bouton c’était ‘OPEN’ donc il arrivait a s’en servir sans trop de mal. Arès tapa contre le compartiment du jacuzzi et en sorti deux bières : « T’en veux une ? » Il décapsula la bière avec ses dents et cracha la dite capsule avant de vider sa bière d’une traite, il sentait ses tissus se régénérer, bientôt il n’aurait même pas une cicatrice mais bon sang que ça lui avait fait mal. L’eau avait pris une teinte dorée, si on faisait abstraction que c’était le sang de Arès l’eau était magnifique « Comment tu te sens ? Je veut dire moi je me régénère autant qu’il le faut mais toi si ça va pas il faut le dire, au pire je t’amènerais chez Apollon » Quelle idée il avait eu de faire ça aussi, il y avait des moyens plus simple pour partager son aura non ? Après il savait très bien qu’il n’était pas le couteau le plus aiguisé du tiroir non plus mais bon, il avait fait ça dans la précipitation et ne le regrettait absolument pas. D’un geste de la main il fit signe a Earwen de venir contre lui, c’était pour ça qu’elle était venue a la base.

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« Ce n’est pas ta faute c’est MON choix » Arès passa ses mains sous les fesses de sa belle il la releva en posant des baiser entre ses seins, se sang avait arrêté de couler de sa plaie et il commençait a reprendre des forces. « Dès demain je t’apprendrais a te défendre et a contrôler cette chose sauvage en toi, mais pour le moment, libère toute cette sauvagerie, je suis la si tu vas trop loin» Bien sur il pouvait gérer une mortelle un peut sauvage ce n’était pas cela qui lui faisait peur, au contraire ça pourrait rajouter un peut de piments et faire chauffer son cœur de taureau enragé. Le dieu fit apparaître une chaîne de combat a maillons de fer et d’un geste il l’enroula au tour de la nuque d’Earwen et la tira vers le haut quelques secondes avant de relâcher son emprise et bouger son bassin pour la faire glisser sur son membre en érection. On entendait que les clapotis de l’eau en mouvement qui commençait a faire de grands remouds . Arès relâcha l’emprise sur la nuque de sa belle en dévoilant une large marque tout le long de son cou, cette vision excita encore plus le dieu de la guerre et s’empressa ce mordre dans son cou et de la marquer d’un suçon.
Il attrapa les mains de sa belle et enroula la chaîne au tour de ses petits avant bras avant de se lever d’un bond et de la lever avec lui dans les airs, a coté d’Arès c’est vrai que Earwen était toute chétive, mais bon en même temps n’importe quel humain serait chétif a coté de lui et ses deux mètres et quelques. Les pieds de la jeune femme ne touchaient plus terre, d’un bras tendu il regarda le corps de sa compagne pendue aux chaînes, l’eau avait éclaboussé de partout dans la salle d’eau, il la plaqua contre le mur froid et l’embrassa a pleine bouche « Il est temps que je t’apprenne quelques trucs » Puis il la posa en gardant les liens en main, c’était lui et lui seul qui décidait quand la lâcher.

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Arès pouvait sentir qu’elle aimait cela, se faire dominer, malmener, violenter, lorsqu’elle le regarda pour lui dire quelle voulait apprendre il comprit qu’il pouvait y aller sans retenue avec elle. Il desserra les liens sur les poignets pour les renouer autour de son cou qui avait encore les traces des maillons, cette fois c'était sur il lui faudra un col roulé.
D’un geste violent il attrapa les chaînes a pleine main et les amena au sol avec la tête de la pauvre Earwen.
« A partir de maintenant tu fais uniquement ce que je te dis… Avance »
Arès continuait de tenir la ‘laisse’ près du sol pour quelle ne se déplace que a quatre pattes. Il l’amena dans le salon, nue a quatre pattes avec pour seul habit une chaîne en guise de collier, n’importe qui pouvait entrer a ce moment la, ou même n’importe quel garde pouvait voir a travers sa baie vitrée d’ailleurs. « ASSIS ! » dit-il d’un ton sec, il prit les mains de la jeune femme et les posa sur ses propres genoux et redressa son dos « Cette position c’est Kneel, elle peut servir a pas mal de choses, récompenses comme punitions, la plus part du temps c'est une position d'attente»
Son membre était en pleine érection, la voir danser dans la paume de sa main était réellement jouissif . Il posa son sexe sur sa joue et la caressa avec, elle était tellement jolie en soumise, le dieu ne pu s’empêcher d’avoir un petit sourire a cette vision des choses, il avait toujours eu un penchant pour corrompre et détruire de belles choses, la il était en plein dedans ! Il posa sa main sur la nuque de la demie-déesse et fit pression en laissant tomber son sexe sur ses lèvres « Pas encore ! » Il voulait juste la faire attendre, lui faire comprendre que même pour le sucer c’est lui qui mène le jeu, il est le maître et elle sa chose. « Ouvre » Arès s’enfonça en elle en entier et en douceur avnt de se retirer aussitôt en se reposant contre ses lèvres « Maintenant tu peux, Good Girl »

With you I'm a beautiful mess ► Earwen Arès

Arès se sentait bouger dans sa bouche, dans sa gorge, sa langue parcourir son membre en lui donnant tant de plaisirs. Les petites mains de la jeune femme caressaient ses bourses pour son plus grand bonheur. Le dieu esquissa un sourire « Ce que je veux ?» Les petites mains de la jeune femme caressant ses bourses pour son plus grand bonheur.

« Cambre-toi, je reviens dans quelques secondes, je veux que tu te touches » 
Arès la laissa en place tout en profitant du spectacle et alla chercher un paddle avec l’inscription ‘Slave’. A son retour le dieu de la guerre se cala derrière elle en lui faisant voir le nouvel instrument de torture
« Je t’ai déjà marqué une fois ce soir, ce ne sera pas la dernière »
D’un geste il recula d’un pas et fit s’abattre le paddle sur son magnifique cul qui ne demandait qu’a se faire visiter, puis il une fois de plus, et encore une fois, il finit par frapper jusqu’à ce que ses fesses soient toutes rouges et seulement a ce moment il jeta son objet et attrapa les cheveux de la jeune femme en la prenant en levrette. Putain oui, ce soir, elle étant sa salope de service. Passant une main sur son ventre, il la remonta sur ses seins pour les caresser sa peau fine et douce, les malaxer, s’amuser avec son corps, de l’autre un tenait fermement la crinière de la lionne en chaleur qu’il culbutait sans aucune retenue. Cette fois-là n’avait rien à voir avec les autres fois, il était juste violent et il aimait ça, ça le faisant encore plus bander, se sentant contre sa peau, ses tétons au bout des doigts, bougeant en elle, la tirant la lui pour enfoncer ses crocs dans sa nuque. Ils ne faisaient plus l’amour, ils baisaient comme des bêtes et il avait envie de le faire voir a tout le monde ‘Regardez ma prise ! Chassez ! Allez-y, mais il vous faudra bien plus d’une vie complète pour en trouver une qui égale, ne serait-ce que son ombre’