[FEAT ARES] une partie de chasse pas comme les autres
Ezéckiel Riddle
ψ laisse ton esprit s'exprimer : né le 4 Juin 1922» Sa mère est tombée enceinte du dieu Arès le temps d'une nuit» sa mère ne s'est jamais mariée, elle était mal vue des autres» elle se prostituée entre autre» Ez a toujours eus une immense rage en lui, il l'a exploiter lors de la guerre » lorsqu'il revient de la guerre il trouve un mentor qui le prend sous son aîles il découvre son don à la même période» il fini par trainer dans des magouilles il s’avère être doué pour les affaires» il rencontre Éléana, et l'épouse à 25 ans, elle vient de Grèce. »Un soir il rentre chez lui et trouve sa femme avec un de ses amis ennemie, tuée et v***ée sous ses yeux. Il le tortura toute la nuit jusqu'à mort s'en suive. » les années passent, il devient riche, les magouilles fonctionnent bien, il bouge, voyage, parcours le monde. » Il fini par arriver en Grèce où il ouvre son bar, il lui donne le nom de sa femme décédée. »il organise des réunions clandestines avec des tueurs à gage afin de trouver les pourritures et leur donner une bonne leçon.
J'suis condamné
Au vide-pensée
J'ai comme une envie de passé
Ça recommence
Ma pénitence
Esclave de la démence
J’ai beau sceller mes soupirs
Le rideau tombe sur mon sourire
Tombe en lambeaux mon voile de souvenirs
Est-ce qu’on m’aimera
Même si je suis hors de moi
ψ je suis très bavard : 44 ψ Date d'inscription : 04/09/2022 ψ Avatar + credit : cillian murphy + all soul ψ double compte : luna/harmony
Je fixais la photo de ma prochaine victime depuis plusieurs minutes assied sur ma chaise une cigarette à la main. Le bar était vide vue l’heure tardive je me retrouvais donc avec moi-même, et mes démons que je me trimballais depuis des années à présent. Les années je ne les comptaient plus, tout comme le nombre de cadavre que j’empilais dans les tréfonds de mon âme. Chaque type que j’avais torturé jusqu’à leur dernier souffle je m’en souvenais. Certains diront que c’est le fardeau de ma vie et ma culpabilité, j’aurais tendance à dire que c’est mon côté passionné. Mon quotidien rythmait simplement à vendre du bon whisky et éradiquer la merde. J’avais ajusté mon veston et enfiler mon long manteau noir il était tard et je n’aimais pas avoir froid, le seul froid que j’accueillerais sera le froid de mon amie la mort quand elle décidera de m’emporter.
J’avais chargé certains de mes hommes de capturé le type en question, je savais qu’il se trouverait dans les bois. J’avais été clair dans mes instructions « vous faites bien comprendre à ce fils de pute, qu’il peut prendre de l’avance, vous lui laissez cinq minutes ensuite je m’en occuperais. » J’étais donc arrivé sur place, et m’étais engagé dans le bois, j’avais abandonné ma clope et m’imprégnais de l’air humide. L’odeur de la peur y était omniprésente, mais ce n’était pas comme d’habitude. Je n’étais pas seul… La mort ce soir ne sera pas ma seule compagne visiblement.
Alors que je marchais d’un pas déterminé mais sans le moins du monde stressé, je me planquais derrière un arbre. Je pouvais l’entendre courir, son souffle couper pris de panique. Dans mon immense bonté j’avais demandé qu’on lui détache les mains. J’attendais pile le bon moment et lorsque je le sentie passé près de moi je l’attrapais par le col et le plaquais au sol.
-Surprise connard ! Alors ça fait quoi d’être chassé ? Ce type prenait un malin plaisir à suivre des demoiselles et leur faire du mal. Un résidu de sperme qui aurait dû être avalé. Alors que j’allais le frapper pour m’échauffer une sensation pesante dans l’air que je ne connaissais pas me titilla les sens. Le type gesticulait, je le regardais alors, il se mit à se tordre de douleur comme si il manquait d’air. J’avais activé cette espèce de don ou je ne sais trop quelle merde que j’avais en moi et que j’avais appris à utiliser et contrôler selon mon bon plaisir au fil des années. On pouvait apercevoir malgré l’obscurité, les veines de son cou ressortir comme si elles allaient exploser. Je ne le tuerais pas de suite, non ça serait bien trop facile. Je voulais voir la peur dans ses iris, l'entendre me supplier. Voir ses muscles se tordre de douleur et par dessus tout, voir dans ses yeux petit à petit les ténèbres l'envahir jusqu'à être dévorer par le froid de la mort, cette douce amante que je retrouvais quasiment chaque nuit, parfois même dans mes cauchemars me rappelant la personne que j'étais devenue.
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Arès
ψ parents : Zeus & Héra ψ ton métier : Patron de WAR.inc, entreprise spécialisé dans la guerre sous tout ses aspects (vente d'armes, conseils, location de mercenaires ect) ψ laisse ton esprit s'exprimer :
Il n'y a qu'une seule chose que j'aime plus que de voir des choses magnifiques et qui me fasse rêver, c'est de les casser en mille morceaux.
ψ je suis très bavard : 107 ψ Date d'inscription : 28/07/2022 ψ Avatar + credit : Honey.Sweet
Mine de rien, cette vie sédentaire commençait à chatouiller les orteils de notre dieu de la guerre, serviteurs, voiture avec chauffeur privée, dîné mondain, tout ça l’avais vraiment ramolli. Ses appareils de musculations ne lui suffisaient plus. Ni une ni deux, il appela ses hommes avec pour ordre de rassembler le plus de ramassis de merde en un temps record, dix minutes pour tout mettre en place, il enfourcha sa moto et en avant pour le point de rendez-vous ! Arrivé au point de rassemblement, il jeta sa moto contre un mur et s’avança vers le groupe avec un regarde flamboyant : « Bon on va pas se mentir vous êtes un résidus de capote et vous avez fait divers conneries, vol, viol, meurtre, et bien d’autres choses dont je me contre fout totalement » Il marqua un temps d’arrêt et scruta du regard ses proies en les balayant « A partir de maintenant vous serez mes proies, je vous laisse cinq minutes d’avance pour fuir et la chasse va commencer, n’appelez pas la police je viendrais vous chercher jusqu’en prison, bref pour gagner du temps vous pouvez balancer un pote a vous avec des preuves et vous aurez un temps en plus, ALLER DU VENT ! » D’un geste un claqua des mains de toutes ses forces pour faire un boom sonique et envoyer valser les gens devant lui. Le dieu sorti un cigare et l’alluma en se posant contre un mur, ses hommes repartirent le laissant seul, mais avant ils lui expliquèrent qu’un des hommes n’avait pas pu être récupéré, il avait été pris par Ezéckiel et son ‘organisation’, Arès grogna au son de ces mots, un homme avait pris SA proie ! Avec une certaine crainte, ils lui donnèrent le dernier emplacement connu ou cet Ezéckiel avait amené sa proie. Arès inspira d’une traite son cigare et posa ses affaires sur le sol, ayant pour seul habit un pagne de cuir. Il fallait bien ça pour équilibrer les forces. Il se lança à la poursuite de son amusement du soir. Courant a travers la ville comme un Conan des temps modernes, a chaque rue, a chaque carrefour qu’il traversait, il devenait de plus en plus bestial, la bave au coin des lèvres, les jambes fléchis et le dos courbé, il fini presque par courir comme un animal a quatre pattes, faisant des bonds de plus en plus grands jusqu’à arriver à la forêt. Il se stoppa et écouta la monde environnant, les moindres bruits de craquement des branches, le souffles sifflant dans les arbres et les animaux s’enfuyant en sentant le danger arriver. Arès monta à un arbre et s’élança de toute sa masse d’arbres en arbres, un tarzan… Un Tarzan de plus de 120 kilos de muscles, mais un Tarzan quand même. À chaque saut, les branches sur lesquelles le dieu s’appuyait craquaient à s’en briser sous l’impulsion. À un moment, il entendit des voix, SA PROIE ! Il redoubla sa vitesse pour arriver au contact. Dès qu’il les a eus en visuel et sauta de son perchoir pour arriver au sol en le faisant trembler dans un bruit assourdissant. Ni une ni deux, il envoya un gros coup de pieds en plein torse sur l’homme qui se tordait de douleur et le rattrapa par le col en le secouant. Puis il se tourna vers celui qui devait être Ezéckiel : « Désolé, mais cet homme est ma proie, ne te met pas en travers de ma chasse » Il était pieds nus avec pour seul habit un pagne de cuir en tenant un homme par le col et le soulevant du sol, le tout en arrivant comme un missile s’écrasant au sol, oui cette scène est charismatiquement ridicule, mais Arès ne s’en rendait vraiment pas compte.
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Ezéckiel Riddle
ψ laisse ton esprit s'exprimer : né le 4 Juin 1922» Sa mère est tombée enceinte du dieu Arès le temps d'une nuit» sa mère ne s'est jamais mariée, elle était mal vue des autres» elle se prostituée entre autre» Ez a toujours eus une immense rage en lui, il l'a exploiter lors de la guerre » lorsqu'il revient de la guerre il trouve un mentor qui le prend sous son aîles il découvre son don à la même période» il fini par trainer dans des magouilles il s’avère être doué pour les affaires» il rencontre Éléana, et l'épouse à 25 ans, elle vient de Grèce. »Un soir il rentre chez lui et trouve sa femme avec un de ses amis ennemie, tuée et v***ée sous ses yeux. Il le tortura toute la nuit jusqu'à mort s'en suive. » les années passent, il devient riche, les magouilles fonctionnent bien, il bouge, voyage, parcours le monde. » Il fini par arriver en Grèce où il ouvre son bar, il lui donne le nom de sa femme décédée. »il organise des réunions clandestines avec des tueurs à gage afin de trouver les pourritures et leur donner une bonne leçon.
J'suis condamné
Au vide-pensée
J'ai comme une envie de passé
Ça recommence
Ma pénitence
Esclave de la démence
J’ai beau sceller mes soupirs
Le rideau tombe sur mon sourire
Tombe en lambeaux mon voile de souvenirs
Est-ce qu’on m’aimera
Même si je suis hors de moi
ψ je suis très bavard : 44 ψ Date d'inscription : 04/09/2022 ψ Avatar + credit : cillian murphy + all soul ψ double compte : luna/harmony
Un silence digne de mauvais présage prit place dans ses bois je me concentrais sur les bruits qui m’entourait oubliant le type que je chassais. Les arbres se mirent à bouger, mon regard s’éleva et une ombre apparu avant de s’étaler dans un fracas énorme. Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Sans que je n’eus le temps de réagir il attrapa ma proie comme un gamin récupérant son ballon chez le voisin ! Je détaillais le type. Je l’avais déjà croisé et il était tout de suite bien moins agréable à regarder. « Désolé, mais cet homme est ma proie, ne te met pas en travers de ma chasse » J’haussais un sourcil et essuyais mon manteau pleins de poussière. Je retirais un gant en cuir et allait chercher une cigarette dans une de mes poches, sans dire un mots. Je tirais dessus et posa mon regard sur lui.
-La prochaine fois grave ton prénom sur son front à cette petite merde ! Je le fixais en fumant ma cigarette. Je peux savoir qui tu es ? Tu n’es pas juste la caricature de l’homme de la jungle rassure moi. En réalité le voir ici m’agaçais, il avait ma proie entre les mains alors que je pensais passer une bonne soirée. Une soirée de chasse. Je ne sais pas exactement qui est ce mec mais clairement il puait le fauve. Connaissent pas la douche dans ce pays à la con ?
En dehors de m'amuser, je travaillais surtout, on me payait pour arracher les tripes de ses mecs et je payais des types pour me ramener leur cadavres. Se qui était clairement fâcheux là car là c'était mon argent qui était en jeux bien que ce n'était pas se qui me manquait. J'aimais seulement que mes plans se déroulent comme prévue, et là ça se déroulait pas comme prévue.
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