EZECKIEL RIDDLE feat cillian murphy ψ we fucking can and if we can, we do !

une enfance dans l'ombreJe suis né en 1922 dans la ville de Londres, cette ville don les rues des bas quartiers puaient la pisse et l’alcool. C’est dans une baraque humide et bouffer par les mites que je suis né. Ma mère femme célibataire accouchait d’un bâtard sans père. L’accouchement s’est passé très vite et seule. Ma mère avait accouché seule comme la pestiférée qu’elle avait toujours été.
Elle m’a toujours dit que j’étais le fils d’un dieu, un dieu de la guerre, que son sang coulait dans mes veine. A part notre seigneur je ne voyais pas de qui elle parlait, mais la folie s’emparait d’elle de plus en plus… et elle me soutenait l’idée que mon père était le dieu Arès, un espèce de sauvage qui irait sur les champs de bataille. Un dieu comment il dise déjà grec, qui vit sur l’Olympe. Puis quoi encore ?

Pour en revenir à mon enfance, ma mère m’a élevé seule, ce n’était pas évidement, sa santé était fragile ainsi que sa santé mentale. Elle me parlait sans cesse de ce dieu à la con beau, grand, fort.
J’avais apprit à lire, à compter, à voler.. On me voyait comme le batard sans père d’une catin complètement folle… Je voyais ma mère travailler dur, faire ce qu’elle pouvait, vendre son corps… J’en ai passé des heures à attendre sur les marches que ses messieurs finissent de se vider, j’imaginais ce que serait ma vie avec un père, ou un beau père.
le début d'autre chose
Les années passent et la guerre arrive, j’étais jeune, mais j'avais l'âge d'aller à la guerre, début d'adolescence bercée par l'odeur du sang, de la peur, de la haine.
Cette guerre...a pris une part de mon âme. Des hommes qui partaient en guerre et abandonnait leurs femmes, les plus chanceux mourraient sur le champ de bataille, les autres revenaient complètement fou. Tout ça à cause d’un putain de connard qui a décidé de retourner le cerveau aux gens. Les camps de concentrations, j’ai eu la chance de ne pas voir ça en vraie, mais les horreurs qui s’y sont produit sont à vomir.  
Ma mère elle, est tombé malade, je bossais comme je le pouvais, je distribuais des journaux, des bouteilles de lait et surtout j’aidais les espèces de bandits à faire passer des messages à d’autre groupe. Ma mère me quittais et rejoignait notre seigneur. Enfin seigneur tu parles. Si un seigneur quelconque existait, il ne laisserait pas cette ville pourrir comme elle pourrie. J’ai trouvé un type qui me prit sous son aile arriver à mes 19 ans, pendant la guerre il y eut un creux où on a pue rentrer, le temps de soigner les blessés. C’est à cette même période que je découvre que j’ai un don… un sale con m’avait énervé, j’avais bue, et il a les yeux qui lui sont sortie de la tête… j’ai vite compris que je n’étais pas normal…

J’ai vagabondé dans la rue à droite à gauche puis j’ai rejoint un groupe don le chef était à la tête de magouille. Il m’a appris quelque truc, notamment me servir d’une arme du moins me perfectionner. J’adorais l’odeur de la poudre une fois que je tirais. Il me payait bien pour ce que je faisais, transmettre des messages, puis faire peur à deux trois petits connards. J’ai pu me fringuer plus ou moins on va dire, de quoi avoir un pantalon potable et des chaussures non trouée.
Puis je l’ai rencontré, la plus belle fille que je n’avais jamais vue… elle avait des yeux magnifiques, elle avait percé mon âme et deviner mes pires craintes. Je l’aimais plus que tout, j’avais un peu d’argent, je l’ai demandé en mariage, elle a dit oui j'avais 25 ans.  Nous vivions dans une petite maison, que celui que je considérais comme mon père nous aidait à payer. Selon lui, c’était la moindre des choses. Eleana, venait de Grèce, j’avais trouvé ironique de voir à quel point tout me ramenait à se Arès, elle m’avait comté leur croyance, je trouvais ça ridicule, mais elle en parlait avec une telle passion que je l’écoutais des heures entières en la dévorant du regard.


le début de la finCe soir là je m’en rappellerais toute ma vie… j’étais paralysé par la peur et l’effroi, mais ce qui me maintenait à la réalité ou du moins presque, c’était la colère. Celui que je considérais comme un père, un frère… s’était introduit chez moi alors qu’il m’avait envoyer régler ses emmerdes une fois de plus… Il était au-dessus de ma femme, elle était à moitié nue et hurlait, elle hurlait mon prénom à plein poumons, ses cris avaient transperçait mon âme…  Il l’avait attrapé par la gorge et lui avait tranché, il était dans une colère monstre, surement à cause de l’alcool, la jalousie car il était persuadé qu’un jour je prendrais sa place… J’avais plus rien contrôlé, j’étais pris d’une folie monstre, elle avait prit possession de tout mon corps, je n’avais encore jamais connue ça. Je l’avais attrapé par la gorge et lui avait planter mes phalange de façon à ce qu’il ne respire plus, une fois qu’il eut perdue connaissance, je l’avais attaché. Je m’étais assied en face de lui, le corps de ma femme pas loin. Une fois qu’il avait reprit connaissance je l’avais torturé encore et encore, en utilisant mon pouvoir, j’avais pris soin de faire exploser petit à petit chaque vaisseau sanguin de son corps. L’avantage avec le corps c’est qu’il y a de nombreux moyen de faire mal, de torturer jusqu’à la supplication d’une mort proche. Oh il avait supplier bien plus que je ne l’aurais pensé. Ça avait duré toute la nuit, puis je l’avais tué, au petit matin, j’enterrais ma femme, j'ai juste eus le temps de sauver notre enfant. Notre fille.
Ce soir-là j’enterrais ma femme, mon âme !Quant à notre enfant, je l'ai confié à ma belle famille, je ne pouvais supporter de lui offrir une vie tel que celle-ci de violence.

J’avais repris les renne de son trafic pourris, et avait fais du ménage, il gérait ça comme le pire des glands, j’avais cherché des gars motivés, en galère et qui n’avait plus rien à perdre, qui avait besoin d’un foyer. Je les avais accueillis les bras ouverts. J’avais repris le taudis où il faisait affaire, j’avais entrepris petit à petit de la rénovation, puis ouvert un bar. Les paris de course, revente de cigarette et d’alcool, ça fonctionnait toujours ce genre de merde !
Les années sont passés à une vitesse, je me suis construit un empire, j’ai agrandis mon business aux états-unis, où j’ai rencontré quelques gars qui en valait la peine, mes bars et l’argent que ça me rapportait, étaient maintenant une excuse pour faire des réunions dans l’ombre afin d’engager les plus sadique et nettoyer la ville de sale petite merde ! Ces types pour qui la femme n’a pas de consentement, ses types qui ne respecte pas le sexe opposé ou les plus démunie !

un nouveau départ La Grèce elle avait toujours voulut y aller… J’avais pas vieillis quasiment et j’avais maintenant les 100 ans… Je ne m’étais pas remarié, j’avais coucher, baiser plus précisément de nombreuse femme, mais toujours avec un accord commun de pas d’attache. On vivait une époque où les femmes avaient gagné des droits et étaient libérées sexuellement.
Si je n’avais pas changé, mes souvenirs pour elle étaient toujours présent, mais ne me faisait plus aussi mal. J’avais apprit à vivre avec son absence, même si la nuit son visage me hantait… son odeur infiltrait mes sens et la sensation de sa peau sous mes mains, le matin je la cherchais dans le lit, nous avions l’habitude de les souiller tout les matins… un lointain souvenir.
Je suis arrivé en Grèce il y a deux mois environs, j’ai trouvé un espèce de bar, je l’ai retapé pour un faire un bar a whisky et à bière. J’ai réalisé le rêve de ma femme, je la ramène chez elle en quelque sorte.