Artémis & Luna ψ Underneath the moonlight

Artémis &
Luna

En cette belle soirée, Artémis avait décidé d’aller voir son frère dans son exécrable club où la luxure coulait à flot. Elle n’aimait pas vraiment ce club où toutes les formes de luxures se trouvaient, surtout les plus basses qui soient. Cependant, Artémis ne pouvait pas détester complètement cet endroit, en raison de son frère. S’il est heureux avec ce club, elle n’avait pas le droit de juger celui-ci complètement inapproprié. Aller le voir là-bas était une véritable torture, surtout lorsqu’elle voyait des hommes et femmes se mouvoir ensemble dans un méli-mélo de jambes et de bras nus. Artémis n’arrivait pas vraiment à comprendre son frère pour cela. La déesse n’arrivait tout simplement pas à croire qu’il pouvait voir de la poésie et de la beauté dans une relation charnelle, surtout dans ce genre de cas. Oh, il ne fallait pas se méprendre, elle pouvait trouver de la poésie et de la beauté mais uniquement sur les femmes enceintes. Artémis adorait voir le ventre des femmes s’arrondir, se sacrifier pour donner la vie. Là, c’était de la beauté pure. Une beauté formée par l’abnégation et de l’amour. Une mère qui sacrifie son corps pour permettre à un enfant de grandir. C’était à son sens, beaucoup plus magnifique que tout ce qu’on pouvait trouver dans ce club ringard. C’était aussi une des seules choses qui la liait à sa mère. La seule autre chose était Apollon, son frère jumeau qui dirigeait cet infâme endroit. Elle s’était fait belle pour l’occasion, enfin, la déesse n’était pas venue dans une de ses tenues pour la chasse. Un pantalon noir, des bottes, un haut gris, ainsi qu’une veste en cuir noir. Elle s’était un peu maquillée, histoire de ne pas paraître complètement décalée avec le club. Il fallait tout de même qu’elle passe inaperçue.

Artémis avait fini par rentrer par la porte arrière. Une porte de service qui donnait dans une ruelle étroite et sombre où des personnes se donnaient aux joies de la chair sans vergogne au point qu’ils ne la virent même pas. Elle réprima une moue de dégoût tandis qu’elle avançait dans le bâtiment qui sentait les phéromones à plein nez. Pourquoi n’a-t-il pas été directeur de musée ou chef d'orchestre? Peut-être qu’il veut me punir ? pensa-t-elle tandis qu’elle s’avançait vers le barman, occupé à servir des boissons.

“ Dîtes-lui que sa sœur est au salon privatif” ordonna-t-elle d’une voix calme avant de s'éclipser le plus rapidement possible.

La déesse ne savait pas si son frère allait couper court à ses occupations pour venir la voir, mais elle espérait au moins qu’il fasse preuve d’égard envers elle. Évitant tout contact avec les clients, enfin, si on pouvait appeler ça des clients. Elle parvient à se faufiler avec aisance et grâce vers le salon privatif. Elle rentra avec les yeux fermés avant de fermer la porte dans un claquement sonore. Artémis ne sentit rien de préjudiciable devant elle, alors elle ouvrit les yeux pour apercevoir une femme assise sur le canapé. Non, ce n’est pas une femme mais une fille, pensa-t-elle en penchant la tête sur le côté. Plissant les yeux, la jugeant du regard pour déterminer ce qu’elle pouvait faire là. Son visage lui était étrangement familier à bien des égards.

-Qui es-tu ? Demanda Artémis d’une voix mais quelque peu froide.

Si cette fille est ici, elle est sans doute là pour mon frère, continua-t-elle de penser. Pauvre enfant, elle aurait pu trouver mieux pour sa première fois que ce pervers. Il ne fallait pas se méprendre, Artémis adorait son frère, mais elle savait parfaitement à quel point il pouvait ressembler à Zeus, parfois.

@Artémis   

Luna cette femme aux blessures si profondes en elle, qu’elle en avait oublié de vivre, jusqu'à lui ... Hadès. Une femme don la bonté et la bienveillance dépasse son estime pour elle. En effet, elle avait erré comme une ombre, une morte parmi les vivants. Sa rencontre avec Hadès l’avait changé, dans tout les aspects de sa vie… Il avait fait d’elle une femme, mais plus encore, il l’avait ramené à la vie grâce à la passion qu’il lui dévouait.

Elle avait été une coquille vide, et ce vide elle avait appris à vivre avec, bien que la solitude de son existence la poussait à croire que la mort la comblerait.
Puis elle avait cherché des réponses par rapport à cette prophéties don elle avait eus écho. Hadès et elle avait conclue, elle ne s’était jamais sentie aussi vivante qu’en présence de la "mort". Puis tout s’était débloqué assez vite, ses pouvoirs, le bal, Perséphone qui lui rend la mémoire, Zeus… Tout…

Ce soir elle avait besoin de voir Apollon, sa présence calmait l’intensité de ses pensés. Elle se sentait bien avec lui et il était clair qu’un lien fort les unissaient, bien plus qu’ils ne le pensaient. Si son âme sœur était Hadès, elle était persuadée qu’elle pouvait aimer de diverses manières, et Apollon faisait partie de ces personnes. Elle l’aimait c’est un fait, au point qu’elle pourrait sacrifier sa vie pour lui autant qu’elle se sacrifierait pour Hadès.
Il l’avait maîtrisé ce soir-là au bal, quand elle avait perdu le contrôle. Le seul à pouvoir la maîtrisé, c’était Apollon… il avait brandit les flammes pour la rejoindre, serré contre lui

Mais elle avait besoin de lui ce soir, elle ne digérait pas le fait d’être la fille de l’ex-femme de l’homme qu’elle aimait. Elle s’était renfermée sur elle, fuyant Hadès. Pour elle ce n’est pas naturel, ce n’est pas normal, elle avait grandi comme une humaine, et on ne fait pas ce genre de chose chez les humains.

Elle s’était téléportée au club d’Apollon, elle avait traversé la foule dans sa robe rose poudré aux allures antique. Sa garde de robe en enfer n’était pas très d’actualité et pourtant, quoiqu’elle puisse porter elle ne passait pas inaperçue. Elle avait été dans un des salons privatifs d’Apollon attendant qu’on la signale, bien qu’elle aurait pu se téléporter dans ses appartements, elle n’avait pas autant d’aise pour le faire.
Assise sur l’un des canapés elle attendait patiemment, perdue dans ses pensé. Au fond d’elle elle était perdue, bien plus perdue qu’avant de retrouver la mémoire.
Elle fut sortie de ses pensé quand une femme entra, non une déesse. Son visage lui était pas inconnue et surtout elle sentait son aura…Elle fut frappé par ce qu'elle dégageait, puissante et douce à la fois, elle aimait ce qu'elle dégageait.

-Je suis Luna. Elle ne donna point d’explication supplémentaire répondant sur un ton ni sec, ni chaleureux. Sa voix pourrait paraître tranchante, alors qu’elle était juste vide d’émotion alors que son cœur était rempli de sentiments. Et toi tu es ? J’ai l’impression que l’on se connait.

 

Artémis &
Luna

Artémis regardait avec des yeux scrutateurs la jeune femme assise sur le canapé. Ses longs cheveux blonds teintés d’un blanc lunaire, ses yeux d’un bleu et sa peau de porcelaine. Il n’y avait aucun doute sur l’identité de la jeune femme, enfin la déesse, c’était celle que la prophétie avait énoncée. Une prophétie dont le sens était plutôt mais dont l’issue restait encore floue. Peut-être que ce n’était qu’une tournure de phrase ? Peut-être que ce n’était pas aussi terrible que cela présageait ? Après tout, les prophéties étaient complexes à l’interprétation, voire impossibles. Cependant, cette jeune femme ne lui était pas inconnue dans une autre circonstance que cette prophétie. La déesse avait même l’impression de l’avoir vue et en quelque sorte connue. De plus, l’aura de malaise et troublé de la jeune fille lui semblait familière, comme si Artémis l’avait déjà croisée quelque part. C’était étrange, elle avait l’impression de déjà la connaître. Une impression partagée par la jeune fille qui se prénommait Luna. Un nom qui lui était encore familier, couplé avec ce visage aux traits doux et fins qui lui donnaient un air de jeune fille innocente, ou même d’une nymphe. Artémis avait connu une femme, enfin une jeune fille, nommée Luna récemment, enfin, cela faisait déjà quelques années. La jeune femme avait eu des problèmes avec sa famille adoptive, enfin son frère qui tentait d’abuser d’elle. Elle avait senti son aura remplie de détresse tandis qu’elle chassait non loin.Cela ne peut pas être elle, le même visage mais les cheveux ne sont pas les mêmes, pensa-t-elle doucement tandis qu’elle la fixait.

Artémis se détendit en comprenant que la jeune femme n’était pas vraiment là pour coucher avec Apollon, à moins qu’elle se trompait ardemment sur elle. De toute façon, ce petit plan, si cela en n’était un, était tombé à l’eau à la minute où Artémis était rentré dans cette pièce. Apollon n’aurait jamais cette femme dans son lit, du moins, pas ce soir. La déesse se tenait toujours debout face à la jeune femme assise sur le canapé.

-Enchantée Luna, déclara-t-elle avec un petit sourire. Pardonnez-moi de mon ton tranchant mais avec mon gigolo de frère, je m’attends à tout de sa part, s’enquit-elle avec un petit signe de tête respectueux.

Elle préférait se montrer respectueuse envers cette femme, car elle tenait quelque peu l’avenir de l’Olympe au creux de ses mains. De plus, Artémis n’avait aucune raison d’être dédaigneuse ou irrespectueuse envers elle. Elle lui semblait gentille et son aura n’était pas quelque chose de courant au sein de ce club qui puait les hormones sexuelles à plein nez. Luna n’était pas comme les autres filles de ce club, avides de sexe.

-Je suis Artémis , s’enquit la déesse de la chasteté avec un sourire doux.

Une fois rassurée par les motivations de la jeune déesse, Artémis se montre un peu plus chaleureuse envers elle.

-C’est marrant, j’ai la même impression. On a dû se rencontrer quelque part, déclara la déesse. D’où viens-tu ? Demanda par la suite Artémis avec un petit sourire.

@Artémis   

Luna regardait la déesse qui lui faisait face, et elle ne se sentait pas en danger. Elle ne douta pas de la férocité don elle pourrait faire face, mais elle dégageait quelque chose de si pure et apaisant qu’elle ne se sentait pas dans l’obligation d’être sur ses gardes. Pardonnez-moi de mon ton tranchant mais avec mon gigolo de frère, je m’attends à tout de sa part. Luna attira son attention sur les dires de la jeune femme, elle écoutait attentivement, car son récent statue de déesse l’avait perturbée. Elle ce perdait encore entre mythe et réalité, elle découvrait ce monde qu’elle avait imaginé seulement dans ses songes. Prier elle l’avait fait un nombre incalculable de fois. Le plus fou c’est que même humaine ses croyances restait helléniste bien qu’elle ait été élevé en France, c’était instinctif. Je suis Artémis.

Luna ouvrit de grand yeux et ce leva quasiment instantanément en entendant son prénom. Elle lui prit délicatement les mains, la chaleur de Luna pue envahir doucement celle d’Artémis. Les yeux brillants elle regarda la déesse, comme fascinée.

-Artémis ! Je suis désolée je ne t’avais pas reconnue… Je suis novice dans le monde divin…

Luna était un peu honteuse de le dire  voix haute, elle ne ce sentait pas à la hauteur de Hadès, lui qui méritait selon elle, ce qui ce fait de mieux. Il méritait une reine aussi puissante que lui, aussi belle, aussi charismatique. Elle relâcha doucement les mains d’Artémis et ce rassied, elle tapota la place près d’elle.

-Je viens de France… M’aurais-tu aidé. ? serait-ce toi qui m’a aidé à partir de là-bas ?

Le départ de Luna avait été la plus belle chose qui lui soit arrivé, et elle avait reçu l’aide d’une jeune femme, elle détaillait le visage d’Artémis, et du bout des doigts caressa sa joue. La pureté et l’innocence de Luna pouvait soit vous séduire, soit la rendre naïve aux yeux des gens, et pourtant Luna quand elle séduisait ce n’était pas volontaire, et elle était loin d’être aussi naïve. Que Zeus lui en soit témoin…

-Oui c’est toi…



 

Artémis &
Luna

Un sourire étira doucement les lèvres de la déesse tandis que la jolie blonde écarquilla les yeux sous la surprise. Luna se leva prestement, s’excusant pour des futilités qui n'ébranlent pas vraiment Artémis. Les choses mondaines n’étaient pas vraiment son fort. Les excuses pour de telles choses la laissent indifférente car c’était complètement futile. Luna était une jeune déesse, celle de la prophétie énoncée par son frère. Artémis sentait sa totale confusion, comme un oisillon qui venait de tomber du nid. Elle était jeune et naïve, ne connaissant leur panthéon qu’à travers les histoires transmises et transformées. Luna ne connaissait ni les enjeux, ni la réalité de celui-ci. Du jour au lendemain, Luna avait un poids à porter sur les épaules sans connaître véritablement ce qui l’attendait. Les pouvoirs, le conseil des dieux, Zeus. Savait-elle même à quel point les dieux étaient sournois tant par leurs ruses que par leurs colères ? Héra était un bon exemple, la meilleure même en matière de vengeance. Zeus, son père que la déesse aimait, était le plus grand hypocrite, paranoïaque et obsédé qu’elle connaissait. Certains dieux n’étaient pas mieux non plus, voire pas beaucoup. Ils se démarquent seulement dans leur manière de faire.

-Je sais, ne t’inquiète pas pour ça Luna, répondit Artémis avec un doux sourire qui flottait sur ses lèvres.

Luna était promise à Hadès, ça, Artémis le savait. C’était inscrit dans la prophétique qu’elle sera son plus grand amour. Un amour qui pourrait détruire tout ce qu’ils avaient construit ou bien le faire prospérer. C’était le problème avec les prophéties, Apollon était oblique. D’ailleurs, Artémis avait une théorie concernant les prophéties de son frère. Lui-même ne les comprenait pas vraiment et qu’au fil du temps le mystère se dénoue de lui-même. La prophétie était en soi une pelote de laine qui se déroulait peu à peu, et son frère avait compris comment dénouer cela pour mieux voir ce qui allait se passer. A moins que cela soit beaucoup moins complexe que cela et qu’elle divaguait complètement. Luna tapota doucement la place à côté d’elle et Artémis eut une moue avant de s’asseoir avec hésitation sur le canapé. Luna répondit à sa question et soudain tout revint dans la mémoire de la déesse. Elle avait aidé énormément de personnes durant ses années sur Gaïa, des jeunes filles, des enfants garçons ou filles. Artémis les protégeait dans la mesure du possible afin que les enfants ou les jeunes filles puissent s’épanouir sans que les hommes les entachent de leurs envies méprisables. Luna était l’une d’entre elles. A l’époque, la jeune déesse avait les cheveux bruns, le regard nerveux et des prières silencieuses lancées aux dieux pour qu’elle puisse s’en sortir de sa situation des plus précaires. Artémis l’avait entendue cet appel et avait sauvé la jeune fille en l’aidant à s’échapper. Cela avait été une mince affaire mais elle fut heureuse que cette jeune fille soit hors de portée de cet homme qui voulait abuser d’elle.

Des doigts vinrent caresser sa joue et ce fut au tour d’Artémis qui écarquilla les yeux avant de lancer un sourire à la jeune fille. C’était étonnant de voir cette jeune déesse s’excuser avec panique avant de lui caresser la joue. C’était un toucher pur et innocent qui fit sourire la déesse au voile argentée.

-Oui, c’était moi, ton appel fut entendu, je t’ai protégée comme tu me l’as demandé, déclara Artémis avec un petit sourire.

Elle ne sait pas vraiment comment faire avec la jeune déesse devant elle. Luna n’était plus une jeune fille en détresse mais une jeune déesse à en devenir. Celle qui détenait toutes les clés du cosmos entre ses mains d’après la prophétie.

-Pardonne-moi mon impolitesse mais que fais-tu dans ce genre d’endroit ? Demanda Artémis curieuse. Ne me dis pas que mon idiot de jumeau t’a converti à ce genre d’acte répréhensible ? Demanda-t-elle en levant un sourcil intrigué par la présence de la jolie blonde au sein d’Hédonia.

@Artémis   

L’innocence de Luna pourrait en être ridicule alors que chez elle c’était charmant. Car elle faisait beaucoup d’effort pour s’intégrer à ce nouveau monde qui en réalité avait été le siens depuis toujours. Perséphone avait fait le choix d’effacer sa mémoire pour sa protection, mais quand Luna repense à ses jeunes années près de sa mère à courir dans les jardins de Demeter, son cœur pleure.

-Tu es la première personne à m’avoir aidé. Je t’en suis redevable à jamais. Sache que si un jour tu as besoin de moi je serais là.

Luna n’aimait pas faire pitié et elle avait eu l’impression de faire pitié toute sa vie, alors qu’au fond elle était bien plus forte qu’elle ne le pensait.
Sa rencontre avec Hades lui avait donné un nouveau souffle, elle s’était sentie vivante pour la première fois de sa vie et ça avait été une révélation.

Elle était fascinée par ce dieu, ce dieu qui était méprisé par trop et incompris des mortels et des dieux eux-mêmes et pourtant il était à ses yeux parfait.

-Pardonne-moi mon impolitesse mais que fais-tu dans ce genre d’endroit ? Ne me dis pas que mon idiot de jumeau t’a converti à ce genre d’acte répréhensible ?

Luna la regarda avec des yeux ronds puis éclata de rire. Elle reposa son regard brillant de joie sur la déesse.

-Non je suis venue voir Apollon, lui et moi nous sommes très proches, je l’aime mais pas de ce genre d’amour. Hadès le tuerait qui plus est si il posait ses mains sur moi.

Elle ce souvient du bal où pour éloigner les soupçons de zeus elle était venue accompagner d’Apollon, celui-ci avait eu les mains baladeuse et Hades avait eus ce regard qui en disait long sur les tortures qu’il rêvait de lui infliger.

-J’aime passer du temps avec lui, il ne me juge jamais et depuis le premier jour il m’a toujours vue différemment, je me sens apaisée avec lui et en ce moment j’ai besoin d’un ami. Elle marque une pause et sourie tendrement. Oui c'est une forme d'amour, j'admire Apollon, l'adore et l'aime à ma manière. Et toi que fais-tu ici ? Je ne m’y connais pas trop en mythologie, mais… il me semble que ce n’est pas vraiment ton style d’endroit préféré.

Luna n’y connaissait certes pas grand-chose, mais elle avait connaissance de la déesse par ses recherches personnelles et par Hades quelque fois. Elle admirait les convictions qu’elle défend.

-Je t’admire beaucoup tu sais. Tu es impliquée corps et âme dans ta cause.